Quatre ans au pouvoir.
Quatre ans, c’est long.
C’est le nombre de saisons qu’aura sévi le téléroman Sous un ciel variable sur les ondes de Radio-Canada. Continuer de lire Quatre ans au pouvoir.
Quatre ans, c’est long.
C’est le nombre de saisons qu’aura sévi le téléroman Sous un ciel variable sur les ondes de Radio-Canada. Continuer de lire Quatre ans au pouvoir.
Ma vie se divise par période.
Ce n’est pas comme si je venais de faire une grande découverte sur moi-même. Seulement le constat résultant d’une séance de méditation prolongée dans un café moyennement hip du quartier Villeray. (Lire: j’ai pogné le fixe dans un Tim Hortons.) Continuer de lire La fin de l’hibernation.
Il n’y a pas si longtemps se tenaient les Rendez-vous du cinéma québécois. Ce week-end avait lieu le Gala des Jutra et deux semaines plus tôt, celui des prix Écrans qui soulignait le meilleur des films canadiens de l’année, dont certains québécois, il va sans dire.
Le cinéma d’ici se célèbre big time! Mais moi, je ne vais pas au party… Continuer de lire Cinéphile… ou presque.
Mon téléphone sonne. Oui, ça arrive encore. C’est rare, mais pas impossible.
Même si je communique désormais presque uniquement par courriels et textos, il arrive que certaines personnes, visiblement nostalgiques de leur période Vuarnet, osent m’appeler « E.T. téléphone maison » style. Continuer de lire Vous avez un nouveau message.
Qu’on se le dise une fois pour toutes: vieillir est extraordinaire.
Je viens vraiment d’écrire ça, et je le pense! Jamais je n’aurais cru tenir ce discours il y a quelques années, mais les faits sont là. Avec l’âge viennent la sagesse, la paix et l’acceptation de soi. Continuer de lire Le complexe du trentenaire.
J’ai constamment le besoin élevé d’être diverti. Là, maintenant, tout de suite.
Insatiable, je suis à l’affût de tout ce qui pourrait me faire sécréter une once de dopamine. … Et ce, tout en restant dans le confort de mon appart, bien vautré sur mon canapé beige, parce que bon… Sortir à l’extérieur, le froid, tout ça… J’en ai soupé. Continuer de lire Diverti sur une balloune.
J’ai, depuis quelque temps, une écoeurantite aiguë des réseaux sociaux. Un malaise généralisé.
Est-ce dû à mon travail qui m’amène à être là-dessus quasiment 12 heures par jour? Peut-être. Continuer de lire Bavardage éphémère.
Je dois l’avouer, je capote un peu sur Kent Nagano. Et ce crush ne date pas d’hier.
Le premier choc a eu lieu il y a une dizaine d’années, en apercevant son faciès d’artiste beaucoup trop concentré sur une affiche près du métro Place-des-Arts. Continuer de lire Hommage à Kent.
La programmation est sortie, on entend fréquemment les annonces publicitaires narrées par Dorothée Berryman, je me suis acheté un flasque…
Bref, je commence à avoir hâte pas à peu près au festival Montréal en Lumière! Continuer de lire Bienvenue à Montréal.